dimanche, novembre 2

Une sirene a Geneve


J'ai profité de cette journée ensoleillée pour me balader au bord du lac. Et c'est par hasard que j'ai découvert une plage magnifique, désertique pour le moment.

Regardez ce que j'ai vu au large: une sirène.

Non on n'est pas à Copenhague mais bien à Genève. Je vous laisse deviner où elle se situe.

Libellés :

jeudi, juillet 3

Nouvelle aventure du Voyageur de Cedric le Borgne




Ce veilleur a trouvé un nouveau vecteur de communication. Pour le moment il voyage en Roumanie où il figure en couverture d'un roman, Necredinciosul ("L’infidèle").

Nom de l'auteur: Ion Vianu.
Ion Vianu est né à Bucarest, écrivain, psychiatre, a passé en Suisse plus d‘un quart de siècle où il a exercé la médecine à Morges. Revenu en Roumanie en 2003 il y déploie une riche activité en tant que journaliste, essayiste et romancier. Auteur, d’essais, de plusieurs romans : «Caietele lui Ozias» Les Cahiers d’Ozias (l’histoire d’un original centenaire, qui a parcouru le siècle qui vient de s’achever), «Vasiliu foi volante» Vasiliu, feuilles volantes, une fiction sur du monde des asiles psychiatrique. Derniers livres parus: «Blestem și Binecuvântare» (Malédiction et Bénédiction), essais, 2007, ainsi qu’un essai sur la biographie de l’écrivain Matei Caragiale, sous presse.

Quant au roman, Necredinciosul («L’infidèle»), publié malheureusement pour nous en langue roumaine, l'histoire est la suivante:

Dans une ville de Suisse romande deux hommes, Joseph et Daniel font connaissance. Ils se découvrent en commun une passion: courir les femmes. De grandes dames, une ancienne prostituée africaine, une étudiante marocaine y passent...

Les visites chez un psychanaliste de Joseph semblent inutiles. Les deux amis se retrouvent dans un face-à-face. Par un jeu symbolique de miroirs les actions des deux personnages semblent se réfléchir les unes dans les autres en engendrant l’impression d’un double. Cette anamorphose les entraîne dans une course à la mort... le dénouement fatal sera-t-il évité? Dans le roman de Ion Vianu qui, semble-t-il, a été écrit comme il se lit, à bout de souffle, le grotesque et le tragique ne cessent de se pénétrer.

Merci Cédric Le Borgne.

Libellés :